lundi 16 décembre 2013

PAPA WEMBA : CLIP " OYEBI" TIRÉ DE L'ALBUM "MAÎTRE D'ÉCOLE" EN EXCLUSI...



Le clip de lancement du prochain album de Papa Wemba est sur le net depuis 5 jours. Cet album qui a pour titre "Maître d'école", sera dans les bacs le 26 février 2014. Papa Wemba a voulu dans cet opus satisfaire son public puriste de la rumba congolaise mais aussi celui friand de la world music dont il est l'un des précurseurs. Un double album qui comprendra vingt chansons dont "Oyebi" que nous vous proposons de regarder.
Site officiel de Papa Wemba:
www.papawemba.fr

dimanche 27 octobre 2013

Uturi Génocide Planifié et Silencieux en Rép.Démo.du Congo Kin.wmv

mardi 19 février 2013

Déclaration de Johnnie Carson à The Brookings Institution: La RDC sur les traces de la Yougoslavie et du Soudan

Déclaration de Johnnie Carson à The Brookings Institution: La RDC sur les traces de la Yougoslavie et du Soudan (Le Potentiel 19/02/2013) Le soutien des Etats-Unis à l’accord de paix des Nations unies pour la stabilisation de la partie de la RDC n’est pas le fait du hasard. Sinon, rien ne saurait justifier la dernière position de son sous-secrétaire d’Etat aux Affaires africaines, Johnnie Carson. Comme en Yougoslavie et au Soudan, Washington est prêt à accompagner l’ONU à appliquer la même thérapie en RDC. C’est-à-dire la paix contre la partition du pays. Sous l’égide des Nations unies, le retour à la paix dans ces deux pays est passé par là. La recette est sur le point d’être expérimentée en RDC. Le sort de la République démocratique du Congo a été déjà scellé en haut lieu de la sphère politique mondiale. La matérialisation du vieux projet de balkanisation de la RDC ne serait donc plus qu’une question de temps. Sur le terrain, tout est mis en place pour atteindre cet objectif. C’est via les Nations unies que la partition finale devra être jouée. Après le dernier report d’Addis-Abeba, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, se rendra, confirment des sources onusiennes, le 24 février 2013 dans la capitale éthiopienne pour la signature de l'accord-cadre régional qui doit permettre de pacifier l'Est de la RDC. Cet accord-cadre, considéré comme un plan régional de paix par son concepteur, devra être signé par la RDC, le Rwanda, l'Ouganda, le Burundi, l'Angola, le Congo, l'Afrique du Sud et la Tanzanie. Il faut rappeler que ce plan de paix avait été présenté pour la première fois le 28 janvier au sommet de l'Union africaine à Addis-Abeba, mais huit dirigeants africains lui avaient réservé une fin de non recevoir. Au nombre desquels, des chefs d’Etat des Grands Lacs. L'ONU avait, à l’époque, indiqué qu'il ne s'agissait pas de divergences de fond sur le contenu de l'accord mais plutôt d'un problème de procédure. Le pavé de Washington Craignant un nouveau report de cet accord de paix, les Etats-Unis ont clairement apporté leur appui à la position défendue par les Nations unies, se démarquant totalement de l’option encore en vigueur au sein de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC). Dans une intervention le 11 février 2013 devant le think tank américain, The Brookings Institution, le sous-secrétaire d'État aux Affaires africaines, Johnnie Carson, a formellement réitéré l’appui des États-Unis à un processus de paix sous l'égide de l’ONU pour la RDC : « Pour la communauté internationale, trouver une solution durable à l’instabilité prolongée en RDC demeurera un défi redoutable ». Quant à la voie à emprunter, le sous-secrétaire d’Etat américain dit que « la seule manière de procéder consiste à adopter une solution subtile bénéficiant de l’appui de la communauté internationale ». Cette solution-miracle, selon Johnnie Carson, est celle que les Nations unies ont expérimentée en Yougoslavie(Europe) et au Soudan(Afrique). Aussi a-t-il martelé du haut de la chaire de Bookings Institution : « Nous sommes parvenus à une telle solution pour mettre un terme au conflit dans l’ex-Yougoslavie par le biais des Accords de Dayton. Nous avons réussi à mettre un terme à la plus longue guerre civile qu’ait connue l’Afrique, le conflit au Soudan, grâce à l’Accord de paix global négocié par les États membres de l’EGAD et appuyé par les États-Unis, la Norvège et la Grande-Bretagne. Il faut maintenant un nouvel effort international dynamique au service de la RDC ». Cela se passe de tout commentaire, car c’est clair comme l’eau de roche. Pour avoir fait recette dans l’ex-Yougoslavie et au Soudan, la recette onusienne est sur le point d’être appliquée à la RDC. Nous rappelons que le processus de paix mené par les Nations unies a conduit, à terme, à la partition de ces deux pays. La Yougoslavie a disparu et cinq Etats ont été créés sur ses cendres, à savoir : Bosnie-Herzégovine, Croatie, Kosovo, Serbie et Macédoine, Slovénie, Monténégro. Le Soudan a éclaté en une nouvelle République du Soudan et en Sud-Soudan. Et le point de départ du nouvel effort promis par Carson est cet accord-cadre de paix que les Nations unies feront signer à Addis-Abeba le 24 février 2013. Plutôt réticente sur le projet, la SADC a été presque réduite au silence, obligée de s’allier à la position des Nations unies. Contrairement au vœu exprimé dernièrement par les pays de la SADC réunis à Maputo (Mozambique), c’est sous mandat de l’ONU, agissant via la Monusco, que devait opérer la force internationale neutre à déployer dans la partie Est de la RDC. Sur le terrain des opérations, l’Onu privilégie l’idée d’une brigade spéciale d’intervention, avec commandement d’un pays de la SADC, notamment la Tanzanie ou l’Afrique du Sud. Si le projet de la brigade spéciale d’intervention a déjà fait du chemin, les positions qu’elle devra occuper, particulièrement dans la province du Nord-Kivu, restent secrètes. Déployée aux frontières de la RDC avec ses voisins, elle constitue un mécanisme de vérification des mouvements des troupes armées. Déployée à l’intérieur de la RDC (Est), elle aura pour mission de traquer et neutraliser tous les groupes armés indexés comme forces négatives actives dans la région des Grands Lacs. Que prévoit l’accord-cadre de paix de l’ONU à ce sujet ? On n’en sait pas grand-chose. Peut-être la vérité éclatera le 24 février. The Brookings Institution : la boite à idées des démocrates C’est devant The Brookings Institution que Johnnie Carson est allée présenter son plan de sortie de crise en RDC. Hasard ou coïncidence ? La très célèbre think tank (boite à idées) américaine est le creuset de toutes les théories montées dans les milieux universitaires et politiques des Etats-Unis, pour soutenir ou laisser tomber un pays dans le monde. Le clan Clinton y a fait ses premiers pas. C’est le cas des familles Clinton et Susan Rice réputées pour être favorables à la partition de la RDC. Illustration. C’est au sein de The Brookings Institution qu’il a été conçu l’idée selon laquelle la gouvernance et le respect des droits humains sont absents dans plusieurs pays africains qui se distinguent par leur étendue géographique et la densité démographique de leurs populations. Pour cette institution, proche du parti démocrate, plus un pays est grand, plus est difficile. D’où, la conviction que seuls les petits Etats en Afrique peuvent être bien gouvernés. Prenant le cas de la RDC, The Brookings Institution soutient que l’immensité de son territoire serait à la base des problèmes de gouvernance et autres conflits politiques qui secouent le pays. La solution, selon cette boite à idées, consisterait à morceler en de petits Etats faciles à gouverner. En s’appuyant sur les exemples de la Yougoslavie et du Soudan pour motiver l’implication effective de l’Onu dans toute solution à mettre en œuvre dans l’Est de la RDC, les Etats-Unis pèchent par une erreur d’analyse. La position défendue par Washington fait le lit de la balkanisation de la RDC, laquelle n’est plus qu’un secret de polichinelle. Le comble c’est que l’ONU endosse la responsabilité de morceler la RDC, sous la dictée des USA. Les Congolais doivent rester vigilants et ne pas cautionner n’importe quelle initiative de paix du moment qu’elle procède de l’affaiblissement de la RDC. Que l’on ne s’y trompe pas : la RDC n’est pas la Yougoslavie, encore moins le Soudan. Encadré Que signifie exactement le mot « balkanisation » ? A en croire le Petit Larousse, la balkanisation est un processus qui aboutit à la fragmentation en de nombreux Etats de ce qui constituait auparavant une entité territoriale et politique. De son côté, Marc Nouschi, historien et directeur régional des affaires culturelles de Champagne-Ardenne, parle de la balkanisation « comme d’un processus de segmentation de zones multiethniques entre des nationalités qui revendiquent le contrôle de territoires qu’elles ont tendance à sacraliser ». A l’origine, l’expression est employée pour décrire l’éclatement de la région des Balkans après la Première Guerre mondiale. A l’heure actuelle, ce mot fait office de métaphore que l’on utilise dès qu’un endroit du globe connaît une période politique instable. Écrit par Le Potentiel © Copyright Le Potentiel

samedi 9 février 2013

Alain Mukendi

Regardez à partir de 12 minutes 55, le reportage sur le styliste Alain Mukendi.

samedi 2 février 2013

Traité de Nice : Evangile selon Dr Mpwila

Mr Polo, signataire du Traité de Nice, revient avec des révélations sur CNC

L'hypocrisie au sein de la Oumma islamique démasquée


Face au manque de solidarité du monde arabo-musulman, le Mali se demande s’il ne faut pas rétablir ses relations diplomatiques avec Israël.
Les derniers développements de la crise qu’il traverse devraient donner au Mali l’occasion d’assouplir les principes qui sous-tendent sa diplomatie et réajuster sa carte diplomatique en y intégrant Israël.
«Qu’on nous dise où étaient ces donneurs de leçons le jour où un couple victime d’une justice inique et expéditive était lapidé à mort, soit disant pour adultère? Où étaient donc ces voix lorsqu’à Aguel Hock des soldats de l’armée régulière malienne étaient égorgés par dizaines voilà un an? ».
Le Président de la Transition, Dioncounda Traoré, n’avait pas de mots assez forts, à la clôture du dernier sommet de l’Union Africaine, pour dénoncer l’hypocrisie des premiers responsables de certains pays, surtout du monde arabo-musulman.
C’était lundi 27 janvier au siège de l’Union Africaine, à Addis Abeba, devant une auguste assemblée de chefs d’Etat et de gouvernement africains et de hautes personnalités.
Il évoquait bien entendu la sortie du Président égyptien Mohamed Morsi, qui n’a pas hésité à condamner l’intervention française qui a été jugée salutaire par les Maliens, car elle a permis de stopper la dangereuse progression des narco-jihadistes et d’éviter au Mali de sombrer dans le chaos, avec des conséquences catastrophiques pour la stabilité de l’ensemble des pays de l’Afrique de l’Ouest.
En Tunisie, même son de cloche qu’en Egypte.
Pour tout dire, du Maghreb au Machreck, la réaction du monde arabo-musulman fut une véritable déception pour les Maliens, qui s’attendaient à l’expression d’une solidarité agissante de la part de la Ummah islamique. Dans le meilleur des cas, les pays arabes se sont emmurés dans un silence assourdissant.
Seul le Maroc semble faire figure d’exception.
Sans préjugé, le Royaume chérifien a entrepris, il y a de nombreuses années, de tisser des relations de coopération économiques et socioculturelles mutuellement avantageuses avec la plupart des pays au sud du Sahara.
Cette exception ne doit pas, cependant, cacher le manque de solidarité des  pays arabes à l’égard du Mali, au moment où celui-ci a le plus besoin de cette solidarité. Ne dit-on pas que c’est dans l’adversité qu’on reconnaît ses vrais amis ?
Précédant le Président de la Transition, le Président du Haut Conseil Islamique (HCI) l’Imam Mahmoud Dicko, avait également déploré cette absence de solidarité et de compassion envers le Mali, pays musulman à 95%, où la pratique du vrai islam est une réalité tangible et où les musulmans sont profonds et sincères dans leur foi.
Le Mali est un pays qui, au nom de la défense des droits de la Palestine à l’existence en tant qu’Etat souverain, a rompu ses relations diplomatiques avec Israël après la Guerre des six jours. Depuis, cette cause est devenue un élément sacro-saint de la diplomatie malienne, en dépit de l’évolution des données géopolitiques à l’échelle mondiale. Et au détriment de ses propres intérêts.
Pendant ce temps, des pays musulmans comme le Sénégal ont vite fait de rétablir leurs relations diplomatiques avec l’Etat hébreux. Ce qui n’a pas empêché le pays de Léopold Sedar Senghor d’abriter des fora de la Ummah Islamique, à l’image du Sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), en engrangeant les substantielles retombées liées à l’organisation d’un tel événement. Faut-il encore rappeler que l’Egypte, la plus grande nation arabe, entretient des relations diplomatiques avec Israël depuis des lustres. Cela depuis les Accords de Camp David, signés le 17 septembre 1978 par le Président égyptien Anouar el Sadate et le Premier ministre israélien  Menahem Begin, sous la médiation du président des Etats-Unis Jimmy Carter ? Depuis, ces relations continuent de courir.
Pourquoi alors le Mali serait-il plus royaliste que le roi ?
En vérité, au nom de la realpolitik, les décideurs maliens seraient bien inspirés d’assouplir quelque peu les principes qui sous-tendent et ajustent sa carte diplomatique à la lumière des derniers développements de la crise que notre pays traverse. Et donc rétablir nos relations diplomatiques avec Israël, à l’instar d’autres pays africains.
Cela ne devrait pas empêcher notre pays de plaider, comme il l’a toujours fait, en faveur de l’avènement d’un Etat palestinien, jouissant de tous ses droits de souveraineté et reconnu par l’ONU, car cette cause noble est tout simplement une question de justice. Sans tomber dans la naïveté, avec de la bonne volonté de part et d’autre, cet Etat peut bien coexister et vivre en bonne intelligence avec l’Etat d’Israël. Une nouvelle situation qui permettrait aux autorités maliennes d’exercer une discrète pression sur le gouvernement de Tel Aviv.
En retour, le Mali pourra bénéficier, entre autres domaines de coopération, de l’expertise d’Israël dans les domaines de l’agriculture et de la sécurité. Car Israël est l’un des leaders mondiaux dans les technologies de l’agriculture: de l’agriculture high tech aux serres chaudes à l’irrigation, en passant par l’industrie laitière, l’aquaculture et les énergies alternatives. Avec ses immenses potentialités agricoles, le Mali pourrait en profiter pour opérer sa révolution verte et nourrir ainsi toute l’Afrique de l’Ouest. Source du texte: JSS News

L'hypocrisie au sein de la Oumma islamique démasquée


Face au manque de solidarité du monde arabo-musulman, le Mali se demande s’il ne faut pas rétablir ses relations diplomatiques avec Israël.
Les derniers développements de la crise qu’il traverse devraient donner au Mali l’occasion d’assouplir les principes qui sous-tendent sa diplomatie et réajuster sa carte diplomatique en y intégrant Israël.
«Qu’on nous dise où étaient ces donneurs de leçons le jour où un couple victime d’une justice inique et expéditive était lapidé à mort, soit disant pour adultère? Où étaient donc ces voix lorsqu’à Aguel Hock des soldats de l’armée régulière malienne étaient égorgés par dizaines voilà un an? ».
Le Président de la Transition, Dioncounda Traoré, n’avait pas de mots assez forts, à la clôture du dernier sommet de l’Union Africaine, pour dénoncer l’hypocrisie des premiers responsables de certains pays, surtout du monde arabo-musulman.
C’était lundi 27 janvier au siège de l’Union Africaine, à Addis Abeba, devant une auguste assemblée de chefs d’Etat et de gouvernement africains et de hautes personnalités.
Il évoquait bien entendu la sortie du Président égyptien Mohamed Morsi, qui n’a pas hésité à condamner l’intervention française qui a été jugée salutaire par les Maliens, car elle a permis de stopper la dangereuse progression des narco-jihadistes et d’éviter au Mali de sombrer dans le chaos, avec des conséquences catastrophiques pour la stabilité de l’ensemble des pays de l’Afrique de l’Ouest.
En Tunisie, même son de cloche qu’en Egypte.
Pour tout dire, du Maghreb au Machreck, la réaction du monde arabo-musulman fut une véritable déception pour les Maliens, qui s’attendaient à l’expression d’une solidarité agissante de la part de la Ummah islamique. Dans le meilleur des cas, les pays arabes se sont emmurés dans un silence assourdissant.
Seul le Maroc semble faire figure d’exception.
Sans préjugé, le Royaume chérifien a entrepris, il y a de nombreuses années, de tisser des relations de coopération économiques et socioculturelles mutuellement avantageuses avec la plupart des pays au sud du Sahara.
Cette exception ne doit pas, cependant, cacher le manque de solidarité des  pays arabes à l’égard du Mali, au moment où celui-ci a le plus besoin de cette solidarité. Ne dit-on pas que c’est dans l’adversité qu’on reconnaît ses vrais amis ?
Précédant le Président de la Transition, le Président du Haut Conseil Islamique (HCI) l’Imam Mahmoud Dicko, avait également déploré cette absence de solidarité et de compassion envers le Mali, pays musulman à 95%, où la pratique du vrai islam est une réalité tangible et où les musulmans sont profonds et sincères dans leur foi.
Le Mali est un pays qui, au nom de la défense des droits de la Palestine à l’existence en tant qu’Etat souverain, a rompu ses relations diplomatiques avec Israël après la Guerre des six jours. Depuis, cette cause est devenue un élément sacro-saint de la diplomatie malienne, en dépit de l’évolution des données géopolitiques à l’échelle mondiale. Et au détriment de ses propres intérêts.
Pendant ce temps, des pays musulmans comme le Sénégal ont vite fait de rétablir leurs relations diplomatiques avec l’Etat hébreux. Ce qui n’a pas empêché le pays de Léopold Sedar Senghor d’abriter des fora de la Ummah Islamique, à l’image du Sommet de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), en engrangeant les substantielles retombées liées à l’organisation d’un tel événement. Faut-il encore rappeler que l’Egypte, la plus grande nation arabe, entretient des relations diplomatiques avec Israël depuis des lustres. Cela depuis les Accords de Camp David, signés le 17 septembre 1978 par le Président égyptien Anouar el Sadate et le Premier ministre israélien  Menahem Begin, sous la médiation du président des Etats-Unis Jimmy Carter ? Depuis, ces relations continuent de courir.
Pourquoi alors le Mali serait-il plus royaliste que le roi ?
En vérité, au nom de la realpolitik, les décideurs maliens seraient bien inspirés d’assouplir quelque peu les principes qui sous-tendent et ajustent sa carte diplomatique à la lumière des derniers développements de la crise que notre pays traverse. Et donc rétablir nos relations diplomatiques avec Israël, à l’instar d’autres pays africains.
Cela ne devrait pas empêcher notre pays de plaider, comme il l’a toujours fait, en faveur de l’avènement d’un Etat palestinien, jouissant de tous ses droits de souveraineté et reconnu par l’ONU, car cette cause noble est tout simplement une question de justice. Sans tomber dans la naïveté, avec de la bonne volonté de part et d’autre, cet Etat peut bien coexister et vivre en bonne intelligence avec l’Etat d’Israël. Une nouvelle situation qui permettrait aux autorités maliennes d’exercer une discrète pression sur le gouvernement de Tel Aviv.
En retour, le Mali pourra bénéficier, entre autres domaines de coopération, de l’expertise d’Israël dans les domaines de l’agriculture et de la sécurité. Car Israël est l’un des leaders mondiaux dans les technologies de l’agriculture: de l’agriculture high tech aux serres chaudes à l’irrigation, en passant par l’industrie laitière, l’aquaculture et les énergies alternatives. Avec ses immenses potentialités agricoles, le Mali pourrait en profiter pour opérer sa révolution verte et nourrir ainsi toute l’Afrique de l’Ouest. Source du texte: JSS News

Israël admet avoir stérilisé les femmes éthiopiennes

dimanche 27 janvier 2013

Jean Goubald prépare son prochain album qui a pour titre Norme.

En studio pour son prochain opus, Jean Goubald vous propose en exclusivité un extrait du prochain titre phare de l'album "Norme".
Le facebook de Jean Goubald.

samedi 19 janvier 2013

FR MOISE MATUTA AU STADIUM DES MARTYRS A KINSHASA

SOSOLISO DU TRIO MADJESI : L'UN DE GROUPESLES PLUS POPULAIRES DU DEBUT D...

Trio Madjesi est un groupe de musique qui a vu le jour au Zaïre (aujourd'hui République démocratique du Congo, RDC) dans les années 1970 formé par trois célèbres chanteurs et auteurs-compositeurs qui sont : Mario dit Buana Kitoko (en français beau garçon vu la belle bouille qu'il avait), Loko Masengo Djeskain et Saak Saakul Sinatra de son vrai nom Bonghat Tshekabu. Les trois chanteurs ont évolué au sein des groupes urbains congolais célèbres des années 1960. Le Trio Madjesi se faisait accompagner par l'orchestre Sosoliso dont les influences étaient plutôt jazz et soul.
Source: wilkipedia

Scientologie ; M'POYO KASA-VUBU et Gisèle MANDAILA : ils veulent nous d...

Mr Polo, un des signataires du Traité de Nice, accuse Mr.Ngbanda d'être ...

Document en lingala.

Affaire traité de nice: Vérité choc et mise au point de Honoré Ngbanda c...

Document en lingala

Alain Prince Makaba face a Noella Madinga dans "cité des stars"

Document en français et lingala.

LUKUNKU SAMPU CHEZ J.M KASSAMBA

Un grand de la télévision congolaise en sa qualité d'animateur des émissions de variété musicale, Lukunku Sampu est aujourd'hui diplomate congolais. Suivez son interview exclusive datant du mois de juillet 2012.

Ado YUHE récoit l'ancien Footballeur International KAMA congomikili



Ce document est en lingala.

Samsung RDC

mercredi 16 janvier 2013

Livres : Charles Kasereka plaide pour le pardon et la réconciliation en Afrique

Le chanoine régulier de l'ordre de la sainte Croix juge ces deux attitudes incontournables qui s'imposent dans le contexte particulier du continent dont les crises ne permettent pas le développement. Le titre de l'ouvrage est en soi assez évocateur. Le prêtre congolais y révèle sa pensée tout entière parlant des Jalons pour une théologie du pardon et de la réconciliation en Afrique. Tout le continent reste concerné en dépit de la restriction que semble apporter la seconde partie de l'intitulé qui indique pour sa part, qu'un focus est placé sur le Cas de la République démocratique du Congo (RDC). Philosophie, politique et religion trouvent leur place dans le discours de Charles Kasereka Pataya repris dans cette publication de L'Harmattan qui s'étend sur 434 pages. Fort du constat que l'Afrique a en partage plusieurs maux, guerres, maladies, famine, analphabétisme, pauvreté, etc. le prêtre souligne aussi que l'aspiration et la soif d'expériences communes de ses peuples sur le plan religieux s'accompagne d'une autre. Il évoque ici ce qu'il tient pour une « aspiration légitime et irrésistible aux droits et libertés de l'homme ». à ces yeux, « cette double aspiration pose la question de la responsabilité théologique et sociale de l'Église en même temps que son rôle et sa place dans l'espace public », nous renseigne l'éditeur. Aussi, « repenser la pratique pastorale de l'Église en Afrique », un impératif, équivaudrait à s'engager dans une double démarche. La prise en considération des questionnements des hommes et des femmes quitte à savoir « en quoi Dieu les concerne dans les conditions de violence et de pauvreté » dont ils font la rude expérience passe pour l'étape primordiale. S'ensuivra la redécouverte du « sens de la souffrance » mais aussi de « la façon dont le christianisme peut être une expérience de salut et de libération sociale qui propose le Royaume de Dieu comme horizon ». Il sied aussi de retenir que dans le contexte général d'une Afrique confrontée à des crises multiples défavorables à son développement, la question du pardon et de la réconciliation est de grande importance. Aussi, l'étude ainsi menée soulève sans complaisance les problèmes existentiels et sociétaux censés porter le lecteur à « une réflexion sur l'intelligence de la foi et la responsabilité ecclésiale ». L'ouvrage se déploie comme invitation aux « personnes de bonne volonté à se réconcilier, à construire un ordre social juste, en s'engageant pour la vérité, source de toute paix », précise l'éditeur. Nioni Masela Photo : La couverture de Jalons pour une théologie du pardon et de la réconciliation en Afrique

Jean-Philippe Omotunde et les Humanirés Classiques Africaines

vendredi 11 janvier 2013

20/11/2012 LE DEBAT PARTIE 1

20/11/2012 LE DEBAT PARTIE 2

La CAN 2013: Voici les 23 joueurs de la RDC retenus

JEUDI, 10 JANVIER 2013 10:17 2 COMMENTAIRES ENVOYER * Par ailleurs, les Léopards ont battu hier la sélection d’Oman (2-0). Le match amical d’hier mercredi 9 janvier 2013 entre les Léopards de la RDC et les olympiques de Oman qui s'est soldé par deux buts à zéro pour les Congolais, a permis à Claude Leroy d'arrêter la liste définitive des joueurs retenus pour la CAN 2013. Se conformant ainsi à la date butoir du 9 janvier fixée par la Confédération africaine de football (Caf). Le technicien français, qui avait convoqué vingt-six joueurs pour un stage de préparation au sultanat d'Oman, a écarté trois joueurs évoluant au pays. Il s'agit d'Hervé Ndonga (Tout Puissant Mazembe), Thierry Kasereka (V.Club) et Diego Mutombo Kazadi (V.Club). R.M Ci-dessous, la liste des Léopards devant se rendre dans quelques jours en Afrique du Sud. 1. Kidiaba Muteba 2. Mandanda Parfait 3. Bakala Landu 4. Issama Mpeko 5. Kasusula Kiritsho 6. Mulemo Landry 7. Mbemba Mangulu 8. Mabiala Larrys 9. Mongongu Cedric 10. Zakuani Gabriel 11. Mulumbu Yousuf 12. Makiadi Cedric 13. Kisombe Mankutima 14. Matumona Zola 15. Kaluyituka Dioko 16. Kanda a Mukok Deo 17. Mputu Mabi Tresor 18. Lualua Lomana 19. Manzia Budje 20. Luvumbu Nzinga 21. Kabangu Mulota 22. Yves Diba 23. Mbokani Dieumerci

mardi 8 janvier 2013

Solidarité nationale : Eden apure les frais d'hospitalisation d'une dizaine d'enfants

Le groupe a allégé la tâche aux parents des malades et a permis à ces patients de quitter la pédiatrie de Kalembe-lembe où ils étaient internés. Le groupe Ensemble pour la délivrance de la Nation (Eden) a apuré, fin décembre, les factures d'hospitalisation à la Pédiatrie de Kalembe-lembe, dans la commune de Lingwala, de près d'une dizaine d'enfants issus des familles en situation difficile. Dans ce lot, la facture la moins chère équivalait à cent dollars américains. L'opération menée sous la supervision du président de ce mouvement, le chantre Alain Moloto, à la veille de la Saint-Sylvestre a allégé la tâche aux parents de bénéficiaires et a permis à ces derniers de quitter l'hôpital et de passer ces fêtes dans leurs familles respectives. Pour le président d'Eden, ce mouvement n'a fait que suivre ce qui est devenu une tradition pour lui, de prier pour la Nation et d'assister des personnes en situation difficile. « Avec le peu que nous avons, nous avons voulu assister ces enfants et leurs familles, en nous acquittant des factures de leur hospitalisation, comme on le fait habituellement à la fin de chaque année », a expliqué Alain Moloto. Un geste opportun Cette assistance a été bien appréciée par les bénéficiaires. Ces derniers se sont, en effet, sentis délivrés par le paiement de leurs factures d'hospitalisation, leur permettant en même temps de quitter ce milieu peint de mauvais souvenirs pour eux. « Mon fils est guéri et la facture nous a déjà été soumise. On attendait réunir les moyens pour l'honorer. Cette assistance du groupe Eden est salutaire pour nous, il vient au moment où on avait vraiment besoin d'une aide », a souligné une mère dont l'enfant a été parmi les bénéficiaires. L'institution hospitalière a également apprécié ce geste, qui lui avait permis de se séparer à l'amiable avec des personnes à qui elle a rendu service. « Cet acte de charité recommandé par les Saintes Écritures est conforme à la Bible qui dit que celui qui donne aux pauvres prête à l'Éternel », a souligné l'assistante sociale de cet hôpital, Esther Nzau. Dans un des passages bibliques, a-t-elle poursuivi, Jésus Christ a même explicitement conseillé d'aider les malades, les prisonniers, etc. L'assistance sociale de la pédiatrie de Kalembe-Lembe a profité de cette occasion pour lancer un appel à d'autres personnes physiques et morales en vue de « se souvenir de ceux qui sont dans les hôpitaux ». Eden, rappelle-t-on, est un mouvement qui prie pour la délivrance de la Nation congolaise. Cette prière a toujours été accompagnée des actes dont l'assistance chaque fin de l'année aux malades internés dans les hôpitaux, notamment par le paiement de leurs frais d'hospitalisation. Lucien Dianzenza Source: Dépêche de Brazzaville.

vendredi 4 janvier 2013

Le 04 janvier 1959 des congolais sont morts pour l'indépendance de leur pays. Aujourd'hui des congolais meurent à cause de leur pays, cette terre bénie par Dieu. Il faut que cela cesse! Pour ces morts, pour nous et nos enfants nous invoquons le feu de Dieu le Père au nom de Jésus-Christ afin de consumer toute manifestation contraire à sa volonté pour notre pays le Congo. Nous brisons tout fondement négatif notamment le plan de balkanisation, les accords de Lemera, le vol des richesses du Congo, tout pouvoir basé sur invocation de démon de la guerre. En conquérant nous reprenons possession de l'espace, du sol et du sous-sol congolais. Du fleuve Congo, des eaux, fleuves, rivières et lacs. Nous y délogeons tout esprit démoniaques. Nous déclarons que le Congo est libre! Oyo eza lisusu tango ya kolela lela te! To leli pe mingi. Ekomi tango ya ko telema! Ko lata kanda esantu! Ko pamela ya ko pamela! Ko papa ya ko papa! Ko kata ya ko kata! Ko belela moto na Nzambe ekita pona ko zikisa misala ya satana!