jeudi 28 juillet 2016

"ZUA LOKUMU" de Blaise MIKANDA / KIN-EXPRESS Productions

mercredi 27 juillet 2016

RD Congo : Étienne Tshisekedi est attendu à Kinshasa ce mercredi


Etienne Tshisekedi. © Gwenn DUBOURTHOUMIEU /JA

Après deux ans d'absence, l'opposant historique doit atterrir ce mercredi à la mi-journée dans la capitale où l'attendent de nombreux partisans.


Des militants en liesse qui font le pied de grue à l’aéroport de Ndjili, voilà de quoi réjouir Étienne Tshisekedi. Après deux ans d’absence, les militants de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) n’ont pas oublié l’opposant historique. Selon plusieurs témoins, son avion aurait déjà décollé de Bruxelles et devrait donc atterrir en fin de matinée à Kinshasa.
« Tshitshi », comme le surnomment ses soutiens, avait quitté la République démocratique du Congo pour la Belgique, où il a reçu des soins médicaux et mené des consultations dans le cadre de l’élection présidentielle, prévue en novembre, mais qui risque fort d’être retardée.
Comité préparatoire du dialogue
Pour l’instant, il semble qu’Étienne Tshisekedi n’ait pas l’intention de participer au comité préparatoire du dialogue national dont les travaux sont censés commencer samedi 30 juillet. Il y a quelques jours, l’UDPS comme les autres composantes du Rassemblement ont récusé le facilitateur Edem Kodjo qu’ils estiment partial.
Cette récusation avait été l’objet d’un communiqué signé d’Étienne Tshisekedi lui-même. Le communiqué déplorait alors « la précipitation avec laquelle Edem Kodjo a lancé, unilatéralement, la préparation pour les travaux préparatoires du dialogue ».
Source : Jeune Afrique

FRERE GUELLORD BOSEKWA ( AZALI NZAMBE )

vendredi 22 juillet 2016

Koffi Olomide serait arrêté à Nairobi.

Koffi Olomide aurait été arrêté à #Naïrobi capitale du #Kenya. Pour rappel la vidéo montrant ce dernier entrain de donner un coup de pied à une de ses danseuses a offusqué plus d'un. Il a même été crée un hashtag #‎KickKoffiOlomideBackToCongo‬ par les kenyans demandant à ce que #Koffi soit arrêté et renvoyé au #Congo. Une députée kenyane a demandé sur son twitter que le chanteur soit arrêté. Affaire à suivre...

First Lady Michelle Obama Carpool Karaoke

mardi 19 juillet 2016

Kinshasa : la terrible situation des réfugiés du Congo-Brazzaville

RD Congo : ce que Tshisekedi et Katumbi sont allés chercher au Quai d’Orsay.

Moïse Katumbi et Étienne Tshisekedi, deux leaders de l'opposition congolaise. © Gwenn Dubourthoumieu/J.A.
Étienne Tshisekedi et Moïse Katumbi, deux figures importantes du "Rassemblement" de l'opposition congolaise, ont été reçus lundi au Quai d'Orsay. Au menu des échanges : le respect de la Constitution de la RD Congo et le dialogue politique national.
C’est au ministère des Affaires étrangères français que se sont donné rendez-vous, le 18 juillet, les envoyés spéciaux pour la région des Grands Lacs – Koen Vervaeke de l’Union européenne, Thomas Perriello des États-Unis, Danae Dholakia (Grande-Bretagne) notamment – et les opposants congolais regroupés au sein du « Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement », issu des assises de Genval, dans la banlieue bruxelloise.
La délégation du « Rassemblement » était conduite par Étienne Tshisekedi, président du conseil des sages de la plateforme, qu’accompagnaient Moïse Katumbi et Martin Fayulu, candidats déclarés à la présidentielle, ainsi que plusieurs autres figures de l’opposition congolaise, notamment Raphaël Katebe Katoto, Olivier Kamitatu, Kyungu wa Kumwaza, Freddy Matungulu et Delly Sesanga.
Une « étape importante » pour l’opposition
« Être reçus quatre heures au Quai d’Orsay en tant que la structure de l’opposition en RD Congo constitue une étape importante, explique à Jeune Afrique un proche de Moïse Katumbi. Car cela démontre qu’aujourd’hui l’opposition ne parle que d’une seule voix ». D’autant que, dans un passé récent, des leaders de l’opposition congolaise n’accordaient pas toujours leurs violons quant à la posture à adopter face au camp Kabila.
« Cette rencontre d’écoute et de consultation avec les envoyés spéciaux a été ainsi l’occasion de rappeler que nous sommes prêts à participer à un dialogue politique national encadré par les résolutions 2277 et 2283 du Conseil de sécurité, lesquelles insistent sur la tenue de la présidentielle dans le respect des échéances constitutionnelles », soit d’ici fin novembre, glisse un autre opposant qui a participé aux discussions.
Des échanges ont également tourné autour du « rétrécissement de l’espace politique » en RD Congo. « Le président Joseph Kabila appelle au dialogue et, au même moment, multiplie les tracasseries judiciaires contre les opposants et refuse de libérer les prisonniers politiques », accuse Katebe Katoto qui appelle le pouvoir à « montrer des signes de décrispation du climat politique » dans le pays avant le début des pourparlers.
Source : Jeune Afrique.

jeudi 7 juillet 2016

L'album posthume du roi de la rumba Papa Wemba est en route.

Une photo de Papa Wemba circule depuis l'annonce de son décès sur laquelle il est écrit qu'il est juste de l'autre côté et qu'il est avec nous par ses oeuvres. En voici une preuve, la sortie de son album posthume. Cet album qui est intitulé Forever de génération en génération a une petite histoire que nous vous raconterons juste après le 30 septembre 2016 le jour de sa sortie. Une chose de sûre, c'est du grand Papa Wemba qui nous est réservé dans cet opus. Préparez-vous en conséquence!

Kinshasa People Show!

Sénégal : "C'est la vie", la série télévisée qui cartonne en Afrique !

Tshisekedi – Katumbi : « Rendez-vous à Kinshasa »

INTERNATIONAL
Deux des principaux leaders de l'opposition congolaise se sont retrouvés ce mercredi 6 juin à Bruxelles. Une nouvelle rencontre entre le vieux patron de l'UDPS, Etienne Tshisekedi, devenu le chantre du Rassemblement de l'opposition, et l'ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, le candidat à la présidentielle qui suscite le plus de crainte dans les rangs de l'actuelle majorité au pouvoir en République démocratique du Congo.
Entre ces deux-là, le courant est au beau fixe. « Etienne Tshisekedi est le président du comité des sages du Rassemblement », explique Moïse Katumbi qui en profite pour rappeler que «le président Thisekedi s'est battu pendant de longues années pour le multipartisme dans notre pays ».
Etienne Tshisekedi, toujours avare de grandes déclarations, élève quelque peu la voix pour être certain d'être bien entendu. « Les procédures judiciaires entamées contre Moïse Katumbi, ce sont des parodies de justice. »
Le deux hommes semblent s'être promis de se revoir bientôt sur le sol national. « Le président Tshisekedi a annoncé la tenue d'un grand meeting le 31 juillet prochain », enchaîne Moïse Katumbi. « Je rentrerai peut-être avec lui ou alors je serai présent pour l'accueillir à l'aéroport de Kinshasa ».
Une déclaration qui surprend. Moïse Katumbi vient d'être condamné à une peine de trois ans de prison dans une affaire de spoliation d'un bien réclamé par un ressortissant grec. « J'ai ma conscience tranquille. Les juges qui m'ont condamné dans ce dossier qui ne tient pas la route devraient bien réfléchir. Je ne vais pas intenter d'action contre eux pour l'instant parce que le droit n'existe plus, malheureusement, dans notre pays. Mais un jour, très prochain, notre Congo redeviendra un Etat de droit et ce jour-là, je demanderai des comptes. En attendant, j'invite tous les Congolais à se rendre à l'aéroport pour accueillir le président Tshisekedi quand il reviendra au pays. »
Aujourd'hui, à un peu plus de cinq mois de la date inscrite dans la Constitution pour la tenue du scrutin présidentiel, faut-il tirer un trait sur ce rendez-vous avec les urnes faute de moyens et de préparation ? « Non, tonne Moïse Katumbi. La Ceni et son président M. Nangaa ont l'obligation constitutionnelle de convoquer les élections le 19 septembre au plus tard. Nous n'accepterons aucun dépassement. Le peuple congolais va reprendre le pouvoir qu'il a donné à M. Kabila.»
Les deux hommes ont rappelé leur fierté de voir l'opposition congolaise unie pour obtenir le respect de la Constitution. Un dialogue est-il toujours possible en RDC entre les différents acteurs de cette crise annoncée ? « Uniquement dans le cadre de la résolution 2277 des Nations unies qui insiste sur le respect de la Constitution et donc du départ de Monsieur Kabila le 19 décembre », rappelle un membre du G7.
Avant de partir, Moïse Katumbi lance encore. « J'ai démissionné de mon poste de gouverneur et je constate qu'il y a une vie après cette démission. M. Kabila doit comprendre qu'il y a une vie après la présidence. Il a encore la possibilité de sortir par la grande port. Dans le cas contraire... »

HUBERT LECLERCQ Publié le - Mis à jour le 
Source: lalibre.be

DIEU ADMIRABLE INÉBRANLABLE INCOMPARABLE

mercredi 6 juillet 2016

Franco Luambo baseki ye epayi ya Lukunku Sampu po aza bourreau.

Keblack - J’ai Déconné (Clip Officiel)

DJANY - J'ai Déconné (Remix)

LA SAPOLOGIE - La Veste en Fémur de Singe et le Gang des Sapeuses

Technologie : comment Whatsapp a conquis l’Afrique


L'application Whatsapp a annoncé en 2016 avoir franchi le milliard d'utilisateurs. © Karly Domb Sadof/AP/SIPA

Lancé en 2009, Whatsapp compte aujourd’hui plus d’un milliard d’utilisateurs. Une performance de taille à laquelle l’Afrique est loin d’être étrangère : Whatsapp est l’application mobile la plus utilisée du continent et sa croissance est exponentielle. Recette d’un (énorme) succès.


Fin 2015, Whatsapp représentait 11% du trafic mobile en Afrique subsaharienne, deux fois plus que Facebook et 2,5 fois plus que YouTube, selon une étude du cabinet Sandvine. Mieux : dans ce domaine l’application affichait une croissance de 50% entre fin 2014 et fin 2015. Et celle-ci semble loin d’avoir faibli depuis, notamment parce que ses concepteurs ont su jouer plusieurs cartes gagnantes.

Ingrédient n°1 : des messages gratuits et un faible besoin de connexion

On ne va pas se mentir : l’argument numéro un de Whatsapp est la gratuité. En concurrence avec les messageries des opérateurs traditionnels, qui multiplient toujours les surtaxes pour les envois à l’étranger, Whatsapp a fait le choix du gratuit. Atout non négligeable : votre répertoire se synchronise automatiquement avec l’application.
Résultat : bon nombre d’Africains, dans leur vie privée ou professionnelle, privilégient Whatsapp par rapport à la messagerie traditionnelle pour leurs échanges de texte, de photos et de vidéos. Bien qu’il faille être connecté en 3G, 4G  ou wifi, ce coût de connexion est largement compensé par les économies de SMS, en particulier lorsqu’il s’agit d’une discussion de groupe.
Un argument massue dans les pays d’Afrique subsaharienne comme au Maghreb, d’autant que l’application ne nécessite qu’un faible niveau de connexion internet. En rachetant Whatsapp en 2014 pour 22 milliards de dollars, Facebook a acquis un outil de plus afin de consolider sa croissance dans les pays en développement.

Ingrédient n°2 : des appels gratuits et des nouveautés en pagaille

C’est sans doute l’atout essentiel de Whatsapp : la gratuité des appels, mise en place début février 2015. Face aux surtaxes des appels à l’étranger, Whatsapp s’est posé en concurrent redoutable des opérateurs téléphoniques, dont il utilise néanmoins les licences 3G ou 4G pour fonctionner.
Whatsapp revendique plus de 100 millions d’appels vocaux émis chaque jour dans le monde
Un énorme atout pour les Subsahariens et leur diaspora. Le créateur de l’application l’a d’ailleurs bien compris : alors que Whatsapp n’était initialement gratuite que la première année, elle l’est désormais entièrement. En juin 2016, la marque, rachetée en 2014 par Facebook pour 22 milliards de dollars, annonçait le chiffre hallucinant de 100 millions d’appels vocaux émis chaque jour dans le monde.
Pour les opérateurs traditionnels, le manque à gagner est donc énorme. Résultat, le service d’appels audio a été bloqué en février au Maroc, sous la pression desdits opérateurs. Qu’importe, Whatsapp prépare déjà la suite : la société envisage de développer une boîte de messagerie vocale et un système d’appels vidéo, pour concurrencer Skype. Autre nouveauté attendue, le partage de la musique stockée sur son smartphone et des morceaux d’Apple Music, sous réserve que les deux interlocuteurs disposent d’un abonnement au service d’Apple.

Ingrédient n°3 : la confidentialité et un intérêt politique

C’est le dernier coup de com’ de Whatsapp: jouer sur la confidentialité des données. « Maintenant, tout message, appel, photo ou vidéo que vous envoyez à vos contacts est chiffré par défaut. Quand vous envoyez un message, la seule personne qui peut le lire est la personne ou le groupe à qui vous l’envoyez. Personne ne peut rentrer dans ce message. Pas même les cybercriminels, les pirates, les régimes oppressifs. Même pas nous », promettaient les fondateurs Brian Acton et Jan Koum alors qu’ils annonçaient un renforcement des mesures de sécurité et de cryptage en avril dernier.
Revers de la médaille : Whatsapp s’est mis à dos, comme Apple aux États-Unis, bon nombre de gouvernements. Fin décembre 2015, après un nouveau refus de fournir à la police des informations sur une affaire criminelle, la messagerie a été entièrement bloquée au Brésil pendant 48 heures. Sur un continent où bon nombre de politiques et d’activistes sont persuadés, à tort ou à raison, d’être écoutés par les gouvernements, Whatsapp fait donc figure de réseau sécurisé.
Lors de la chute de Blaise Compaoré, de nombreuses conversations groupées circulaient entre les manifestants.
Au Burkina Faso, lors de la chute de Blaise Compaoré, de nombreuses conversations groupées circulaient entre les manifestants, qui tentaient d’éviter les contingents des policiers. Au Burundi encore, c’est via Whatsapp, notamment, que les lanceurs d’alerte ont fait circuler des informations, alors que les médias traditionnels avaient été muselés par le régime de Pierre Nkurunziza.
Dans les contextes de crise du continent, Whatsapp est devenu une véritable alternative. Nombre de poids lourds, du côté des oppositions ou des partis au pouvoir, en font désormais un pilier de leur communication.
 Source: Jeune Afrique.