mardi 30 juin 2015
lundi 29 juin 2015
dimanche 28 juin 2015
vendredi 26 juin 2015
jeudi 25 juin 2015
FESTIVAL CONNEXION KIN 2015
- Présentation www.kvs.be -
La sixième édition de Connexion Kin, le festival international des arts de Kinshasa, se déroule du 2 au 12 juillet 2015. C'est un festival de ville qui s'assume comme tel : différents sites dans la commune de Limete sont transformés en espaces culturels, et la place centrale est aménagée en lieu de rencontre central.
Les mots clés sont ouverture et échange : Connexion Kin relie le secteur des arts de Kinshasa au monde et vice versa. Connexion Kin vise tout spécialement à réunir des artistes de différents pays africains.
Le KVS a commencé le festival en 2009. A l'origine, c'était un festival de cinq jours, mais il contenait d'emblée tous les éléments qui caractérisent Connexion Kin : un ancrage solide dans la scène locale, et en même temps : une ouverture et une dimension internationale. Cette première édition était un grand succès et, chemin faisant, le festival a pris de l'ampleur et son rayonnement a grandi.
Connexion Kin peut compter sur un public large et très divers. L'intérêt international aussi augmente chaque année. L'Institut Français Halle de la Gombe et le Centre Wallonie-Bruxelles ont été lors des éditions précédentes les lieux majeurs du festival, même si des événements étaient également organisés dans des espaces culturels plus petits, plus informels.
Pour cette édition, trois créations importantes sont réalisées dans et avec Limete, avec d'éminents artistes dont notamment Freddy Tsimba, Toto Kisaku, Vitshois Mwilambwe, Bebson de la rue, Fransix Tenda et Violet Nantume. A l'affiche, on retrouve également des spectacles comme The Dialogue Series : IV. Moya (Faustin Linyekula / Studios Kabako & KVS), Badke (KVS, les ballets C de la B & A.M. Qattan Foundation), Kinshasa Electric (Ula Sickle / KVS & KunstenfestivaldesArts) et Fanfare funérailles (Papy Ebotani / Studios Kabako). Et en ouverture du festival : un grand bal avec DJ Spilulu de Lubumbashi.
Connexion Kin est une coproduction du KVS et des Studios Kabako, avec Kin Art Studio et K-Mu Théâtre comme partenaires majeurs de Kinshasa. Jan Goossens, Faustin Linyekula, Virginie Dupray, Vitshois Mwilambwe, Paul Kerstens et Toto Kisaku n'ont pas seulement élaboré la programmation, ils ont aussi repensé ensemble le concept du festival dans son intégralité.
Connexion Kin reçoit e.a. le soutien de la région de Bruxelles-Capitale, de la délégation de l'UE à Kinshasa, de l'Institut Français (Paris et Kinshasa), de 11.11.11 et du Centre Wallonie-Bruxelles.
La sixième édition de Connexion Kin, le festival international des arts de Kinshasa, se déroule du 2 au 12 juillet 2015. C'est un festival de ville qui s'assume comme tel : différents sites dans la commune de Limete sont transformés en espaces culturels, et la place centrale est aménagée en lieu de rencontre central.
Les mots clés sont ouverture et échange : Connexion Kin relie le secteur des arts de Kinshasa au monde et vice versa. Connexion Kin vise tout spécialement à réunir des artistes de différents pays africains.
Le KVS a commencé le festival en 2009. A l'origine, c'était un festival de cinq jours, mais il contenait d'emblée tous les éléments qui caractérisent Connexion Kin : un ancrage solide dans la scène locale, et en même temps : une ouverture et une dimension internationale. Cette première édition était un grand succès et, chemin faisant, le festival a pris de l'ampleur et son rayonnement a grandi.
Connexion Kin peut compter sur un public large et très divers. L'intérêt international aussi augmente chaque année. L'Institut Français Halle de la Gombe et le Centre Wallonie-Bruxelles ont été lors des éditions précédentes les lieux majeurs du festival, même si des événements étaient également organisés dans des espaces culturels plus petits, plus informels.
Pour cette édition, trois créations importantes sont réalisées dans et avec Limete, avec d'éminents artistes dont notamment Freddy Tsimba, Toto Kisaku, Vitshois Mwilambwe, Bebson de la rue, Fransix Tenda et Violet Nantume. A l'affiche, on retrouve également des spectacles comme The Dialogue Series : IV. Moya (Faustin Linyekula / Studios Kabako & KVS), Badke (KVS, les ballets C de la B & A.M. Qattan Foundation), Kinshasa Electric (Ula Sickle / KVS & KunstenfestivaldesArts) et Fanfare funérailles (Papy Ebotani / Studios Kabako). Et en ouverture du festival : un grand bal avec DJ Spilulu de Lubumbashi.
Connexion Kin est une coproduction du KVS et des Studios Kabako, avec Kin Art Studio et K-Mu Théâtre comme partenaires majeurs de Kinshasa. Jan Goossens, Faustin Linyekula, Virginie Dupray, Vitshois Mwilambwe, Paul Kerstens et Toto Kisaku n'ont pas seulement élaboré la programmation, ils ont aussi repensé ensemble le concept du festival dans son intégralité.
Connexion Kin reçoit e.a. le soutien de la région de Bruxelles-Capitale, de la délégation de l'UE à Kinshasa, de l'Institut Français (Paris et Kinshasa), de 11.11.11 et du Centre Wallonie-Bruxelles.
mercredi 24 juin 2015
lundi 22 juin 2015
dimanche 21 juin 2015
samedi 20 juin 2015
vendredi 19 juin 2015
jeudi 18 juin 2015
mardi 16 juin 2015
Kinshasa: des enfants livrés à la mendicité pour nourrir leurs familles.
Lors de la célébration de la journée internationale de l’enfant africain mardi 16 juin le Réseau des éducateurs des enfants et jeunes de la rue en RDC (REEJER) a déploré le faible taux d’enregistrement des enfants à l’état civil en RDC. En outre, beaucoup d’enfants vivent dans la rue ou gagnent leur vie, et parfois font nourrir leurs familles, grâce à la mendicité et aux petits métiers.
Le président du conseil d’administration du (REEJER), Roger Mafolo, a indiqué que la RDC fait partie de dix pays aux taux d’enregistrement des naissances les plus bas. Avec une population estimée à 70 millions d’habitants, la RDC ne dispose que de 1200 principaux bureaux d’Etat civil. L’accessibilité de certaines zones demeure difficile, selon la même source. Reconnaissant cette situation, le ministre provincial de l’Intérieur de Kinshasa, Emmanuel Akweti, a présenté la solution préconisée par son gouvernement: «L’autorité urbaine a pris des mesures incitatives en éliminant des obstacles à l’enregistrement; notamment à la création des plusieurs bureaux secondaires de l’état civil à travers les communes et quartiers, afin de rapprocher les administrés au bureau de l’état civil.»
L’enregistrement à l’état civil se fait gratuitement pendant 90 jours après la naissance, a précisé pour sa part le président du tribunal pour enfants de Matete. Dépasser ce délai, a-t-il prévenu, les parents seront soumis au paiement de ce document. Le REEJER, l’Unicef, l’Ambassade de France, la Banque mondiale et le gouvernement congolais ont ainsi organisé ce jour à la paroisse catholique Christ Roi de Kasa-Vubu et au stade municipal de Masina de Kinshasa plusieurs manifestations, dont le récital des poèmes des enfants démontrant l’importance de l’enregistrement des enfants à l’état civil. Des rêves A Kinshasa, les enfants vivent dans de différentes conditions sociales. Il y en a qui sont à l’école, d’autres qui font de petits métiers et d’autres encore qui vivent de la mendicité.
Mais ils rêvent tous d’assumer des fonctions importantes dans la société. Devant une école de Binza, Christelle (14 ans), Lémi (13 ans) et leurs amis semblent mener une vie normale. Ils sont scolarisés par leurs parents. Ils ambitionnent de devenir notamment des médecins, avocats, pilotes, banquiers, communicateurs… Par contre à 16 ans, Rubens dit n’avoir jamais été à l’école. Lui et bien d’autres mineurs comme lui sont obligés de mendier dans les artères de Kinshasa et de s’adonner aux petits métiers pour survivre.
Un de ses amis, Munongo (17 ans) témoigne: «Je suis cireur, depuis maintenant trois ans. Cette année, je n’ai pas étudié, j’ai quatre aîné à l’ISP (Institut supérieur pédagogique). Papa n’arrive pas à nous [scolariser] tous. Papa est vivant, mais maman est déjà morte. Il est seul, il n’arrive pas à supporter la charge ! Moi, je rêve de faire la mécanique.» Non loin de la Place Victoire, Kennedy (14 ans) dit laver les véhicules pour vivre et aider sa famille. «Je n’étudie pas parce que je n’en ai pas les moyens. Si j’ai les moyens, je vais devenir médecin. Si quelqu’un veut bien me payer les études, je retournerai à l’école », a-t-il lancé. La journée de l’enfant africain a été instituée en 1976, pour faire le point sur la situation des droits de l’enfant sur le continent.
Source: radiookapi.net
Le président du conseil d’administration du (REEJER), Roger Mafolo, a indiqué que la RDC fait partie de dix pays aux taux d’enregistrement des naissances les plus bas. Avec une population estimée à 70 millions d’habitants, la RDC ne dispose que de 1200 principaux bureaux d’Etat civil. L’accessibilité de certaines zones demeure difficile, selon la même source. Reconnaissant cette situation, le ministre provincial de l’Intérieur de Kinshasa, Emmanuel Akweti, a présenté la solution préconisée par son gouvernement: «L’autorité urbaine a pris des mesures incitatives en éliminant des obstacles à l’enregistrement; notamment à la création des plusieurs bureaux secondaires de l’état civil à travers les communes et quartiers, afin de rapprocher les administrés au bureau de l’état civil.»
L’enregistrement à l’état civil se fait gratuitement pendant 90 jours après la naissance, a précisé pour sa part le président du tribunal pour enfants de Matete. Dépasser ce délai, a-t-il prévenu, les parents seront soumis au paiement de ce document. Le REEJER, l’Unicef, l’Ambassade de France, la Banque mondiale et le gouvernement congolais ont ainsi organisé ce jour à la paroisse catholique Christ Roi de Kasa-Vubu et au stade municipal de Masina de Kinshasa plusieurs manifestations, dont le récital des poèmes des enfants démontrant l’importance de l’enregistrement des enfants à l’état civil. Des rêves A Kinshasa, les enfants vivent dans de différentes conditions sociales. Il y en a qui sont à l’école, d’autres qui font de petits métiers et d’autres encore qui vivent de la mendicité.
Mais ils rêvent tous d’assumer des fonctions importantes dans la société. Devant une école de Binza, Christelle (14 ans), Lémi (13 ans) et leurs amis semblent mener une vie normale. Ils sont scolarisés par leurs parents. Ils ambitionnent de devenir notamment des médecins, avocats, pilotes, banquiers, communicateurs… Par contre à 16 ans, Rubens dit n’avoir jamais été à l’école. Lui et bien d’autres mineurs comme lui sont obligés de mendier dans les artères de Kinshasa et de s’adonner aux petits métiers pour survivre.
Un de ses amis, Munongo (17 ans) témoigne: «Je suis cireur, depuis maintenant trois ans. Cette année, je n’ai pas étudié, j’ai quatre aîné à l’ISP (Institut supérieur pédagogique). Papa n’arrive pas à nous [scolariser] tous. Papa est vivant, mais maman est déjà morte. Il est seul, il n’arrive pas à supporter la charge ! Moi, je rêve de faire la mécanique.» Non loin de la Place Victoire, Kennedy (14 ans) dit laver les véhicules pour vivre et aider sa famille. «Je n’étudie pas parce que je n’en ai pas les moyens. Si j’ai les moyens, je vais devenir médecin. Si quelqu’un veut bien me payer les études, je retournerai à l’école », a-t-il lancé. La journée de l’enfant africain a été instituée en 1976, pour faire le point sur la situation des droits de l’enfant sur le continent.
Source: radiookapi.net
dimanche 14 juin 2015
samedi 13 juin 2015
vendredi 12 juin 2015
Stromae annule son concert à Kinshasa après une «urgence médicale»

mercredi 10 juin 2015
Parc des Virunga : Soco International soupçonnée de corruption en RDC

TV5MONDE : L'art équitable de Renzo Martens
Une belle initiative que l'art équitable... le Néerlandais Renzo Martens en est en tout cas un des représentants. Il scanne des œuvres d'artistes congolais, les moule avec du chocolat à Amsterdam, puis renvoie l'argent de la vente en République démocratique du Congo.
lundi 8 juin 2015
vendredi 5 juin 2015
jeudi 4 juin 2015
mardi 2 juin 2015
Eliminatoires Can-2017: les Léopards de la RDC en stage à Mons

Rafael Correa : l'homme qui a redressé l'Équateur en défiant le FMI

RDC : la société civile a commémoré les 5 ans de l’assassinat de Chebeya et Bazana

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