Après avoir été dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, l'un des très rares auteurs de BD originaires d'Afrique, Barly Baruti continue son parcours dans un relatif anonymat. Christophe Cassiau-Haurie lui rend hommage en revenant avec admiration sur le parcours de celui qui fut un précurseur du 9e art africain. (Lire la suite)
jeudi 22 septembre 2011
Qu'est-ce qui fait courir Barly ?
Après avoir été dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, l'un des très rares auteurs de BD originaires d'Afrique, Barly Baruti continue son parcours dans un relatif anonymat. Christophe Cassiau-Haurie lui rend hommage en revenant avec admiration sur le parcours de celui qui fut un précurseur du 9e art africain. (Lire la suite)
lundi 19 septembre 2011
Cheela: de Kinshasa à Paris!
Née à Kinshasa au CONGO RDC, Cheela est originaire d'Afrique par sa
mère,et d'Inde par son père. Très jeune, elle débute son activité
artistique par la danse où elle se fait vite remarquer par les plus
grands chanteurs zaïrois avec lesquels elle va sillonner son pays
d'origine. De concerts en Festivals, elle décide finalement de se mettre
au chant et créé son propre groupe « T.T.C ».
En 2000, après trois ans de tournées intensives dans les Caraïbes et
en Europe, elle enregistre un premier album solo à Paris dont le succès
auprès de la communauté Africaine et Antillaise va être immédiat : 100
000 exemplaires vendus.
De nouveau elle écumera les scènes d'Afrique et des Antilles avec le tubissime « Quitte dans ça » qui se classe en tête des ventes.
En 2003, elle fait la rencontre du rappeur Passi au moment de la conception du projet « Dis l'heure 2 zouk », s'en suit l'enregistrement du titre « Laisse parler les gens » avec la diva antillaise Jocelyne Labylle, aux côtés de Jacob Desvarieux et Passi.
Disque de platine 650 000 singles ecoulés; de télévision en radios nationales et internationales, son nom résonne dès lors comme celui du tube français de l'été 2003.
A la suite de cette vague médiatique inimaginable pour notre panthère zaïroise, elle choisit alors de sillonner l'Afrique et les Antilles à la rencontre du public de ses débuts.
Dans le même temps, elle va continuer de travailler à l'élaboration d'un nouvel album solo.
Aujourd'hui elle travaille sur l'élaboration de son nouvel album.
De nouveau elle écumera les scènes d'Afrique et des Antilles avec le tubissime « Quitte dans ça » qui se classe en tête des ventes.
En 2003, elle fait la rencontre du rappeur Passi au moment de la conception du projet « Dis l'heure 2 zouk », s'en suit l'enregistrement du titre « Laisse parler les gens » avec la diva antillaise Jocelyne Labylle, aux côtés de Jacob Desvarieux et Passi.
Disque de platine 650 000 singles ecoulés; de télévision en radios nationales et internationales, son nom résonne dès lors comme celui du tube français de l'été 2003.
A la suite de cette vague médiatique inimaginable pour notre panthère zaïroise, elle choisit alors de sillonner l'Afrique et les Antilles à la rencontre du public de ses débuts.
Dans le même temps, elle va continuer de travailler à l'élaboration d'un nouvel album solo.
Aujourd'hui elle travaille sur l'élaboration de son nouvel album.
Sources: http://www.museke.com/Cheela
Kinshasa: une exposition photos sur la sape congolaise
Les photographes Baudouin Mouanda (Congo Brazzaville) et Hector
Mediavilla (Espagne) présentent leurs clichés sur le monde de la sape
dans les deux Congo. C’est l’ambassade d’Espagne en RDC qui organise
cette exposition du jeudi 15 septembre au samedi 29 octobre à l’Institut
français–Halle de la Gombe. Le thème de l’exposition: «Un rêve
d’aller-retour: la sape congolaise».
La
sape est une mode vestimentaire populaire née après les indépendances
du Congo-Brazzaville et du Congo-Kinshasa chez les jeunes. Ses adeptes,
appelés sapeurs, s’habillent chez les grand couturiers.
L’ambassadeur
d’Espagne en RDC, Félix Costales Artieda, et une commissaire de
l’exposition, Sandra Maunac, parlent de cette exposition dans cet
entretien avec Jean Marc Matwaki. Sources: radiookapi.net.
Pour écouter l'interwiew: cliquer ici.
jeudi 15 septembre 2011
RDC: Joseph-Denys Lukusa publie un dictionnaire des dates et événements historiques
Le professeur Joseph-Denys Mwamba Lukusa a publié aux éditions
Melonic, le «Dictionnaire de référence des dates et des évènements
historiques en République démocratique du Congo». A travers cet ouvrage
de 681 pages subdivisé en cinq chapitres, l’auteur tente de reconstituer
l’histoire du pays, de son peuple et de ses dirigeants.
Pour Joseph-Denys Mwamba Lukusa, dresser un bilan des crises que la RDC a connues, des changements et des répétitions qui ont émaillé son histoire, revient à nourrir la question de savoir si l’avenir de l’Etat congolais s’inscrit dans un mouvement évolutif.
Cliquez sur ce lien pour suivre l'entretien de Joseph-Denys Mwamba Lukusa avec Etienne Kalema.
Pour Joseph-Denys Mwamba Lukusa, dresser un bilan des crises que la RDC a connues, des changements et des répétitions qui ont émaillé son histoire, revient à nourrir la question de savoir si l’avenir de l’Etat congolais s’inscrit dans un mouvement évolutif.
Cliquez sur ce lien pour suivre l'entretien de Joseph-Denys Mwamba Lukusa avec Etienne Kalema.
dimanche 11 septembre 2011
Grand écran : sortie en salle de Kinshasa Symphony le 14 septembre
Le Palais des Beaux-Arts de Belgique avait servi de cadre à
l'avant-première du documentaire de Claus Wischmann et Martin Baer le 24
juin 2010. Si le titre du film fait référence à la capitale de la RDC,
son histoire a pour toile de fond celle de l'Orchestre symphonique
kimbanguiste (OSK), l'unique de l'Afrique subsaharienne.
Tourné en français et en lingala, le long métrage a comme principaux
protagonistes des personnes de condition modeste dont le gagne-pain
consisterait en l'exercice de divers petits métiers. Parmi eux des
électriciens, des vendeurs de pain, des vendeuses à la criée et même un
coiffeur. Et ce, excepté le chef d'orchestre, Armand Diangienda, qui,
lui, est pilote de formation. Initiateur de l'ensemble, il est le
petit-fils de Simon Kimbangu, le père du Kimbanguisme. Les sociétaires
de l'OSK ont une passion commune, celle d'une musique apprise en
autodidactes et pratiquée en amateur mais avec grand bonheur.
Au-delà d'une simple chronique de l'orchestre, Kinshasa Symphony s'efforce d'explorer, à travers le vécu quotidien de ses personnages, les réalités des rues kinoises. En effet, comme l'avait signifié dans une interview l'un des réalisateurs, en l'occurrence Martin Baer : « Nous avons dit à Armand, le chef d'orchestre, que nous n'avions pas seulement envie de filmer le concert, mais aussi de les suivre dans leur vie de tous les jours, dans leur travail, chez eux et même de voir leurs enfants à l'école ». Pour cela, il a fallu obtenir l'assentiment des concernés, ce ne fut pas chose facile, certes, mais ce fut chose faite.
Dès lors, certains des membres de l'OSK ont dû se prêter au jeu de la caméra sans le moindre apparat dans un contexte particulier à chaque fois incarnant chacun son propre rôle. Ainsi, voit-on dans le film la violoncelliste Joséphine dont l'unique ressource est la vente des œufs afin de se procurer la somme nécessaire à l'intervention chirurgicale de son fils. Aussi devait-elle souvent se lever très tôt pour s'y atteler. Il y a aussi la flûtiste Nathalie dont l'expertise est sollicitée pour la décoration des mariages. Elle a à sa charge son petit garçon qu'elle élève seule. La recherche d'un nouveau logement constitue sa grande préoccupation. Et, le génie du guitariste Armand est mis en exergue. Il s'emploie lui-même à la fabrication d'une contrebasse avec du bois de récupération dans une arrière-cour.
Alors que sa sortie est annoncée pour le 14 septembre, Kinshasa Symphony a déjà à son actif plusieurs participations à de nombreux festivals de par le monde. Loin d'être des passages fortuits, ces tournées ont souvent été couronnées de succès. Des sept récompenses glanées jusque là, on répertorie quatre « Prix du Meilleur documentaire » obtenus successivement au VIFF Vancouver 2010, au New-York cmj Music film Festival 2010, au Bolzano Cinema festival 2011 et au Salem Film Festival-USA. Les deux « Prix du public » dont il dispose lui ont été décernés au Mostra Sao Paulo germanfilms 2010 et au Pessac Les toiles filantes 2011. Tandis qu'au Rhode Island film festival 2010, il avait été gratifié de celui du « Prix du Meilleur film ».
Kinshasa Symphony a également été nominé plusieurs fois dans diverses prestigieuses rencontres cinématographiques du monde depuis l'an dernier. Il a par ailleurs fait l'ouverture des Visions du Réel de Nyon, l'année dernière, et des 27ès Vues d'Afrique de Montréal de cette année.
Au-delà d'une simple chronique de l'orchestre, Kinshasa Symphony s'efforce d'explorer, à travers le vécu quotidien de ses personnages, les réalités des rues kinoises. En effet, comme l'avait signifié dans une interview l'un des réalisateurs, en l'occurrence Martin Baer : « Nous avons dit à Armand, le chef d'orchestre, que nous n'avions pas seulement envie de filmer le concert, mais aussi de les suivre dans leur vie de tous les jours, dans leur travail, chez eux et même de voir leurs enfants à l'école ». Pour cela, il a fallu obtenir l'assentiment des concernés, ce ne fut pas chose facile, certes, mais ce fut chose faite.
Dès lors, certains des membres de l'OSK ont dû se prêter au jeu de la caméra sans le moindre apparat dans un contexte particulier à chaque fois incarnant chacun son propre rôle. Ainsi, voit-on dans le film la violoncelliste Joséphine dont l'unique ressource est la vente des œufs afin de se procurer la somme nécessaire à l'intervention chirurgicale de son fils. Aussi devait-elle souvent se lever très tôt pour s'y atteler. Il y a aussi la flûtiste Nathalie dont l'expertise est sollicitée pour la décoration des mariages. Elle a à sa charge son petit garçon qu'elle élève seule. La recherche d'un nouveau logement constitue sa grande préoccupation. Et, le génie du guitariste Armand est mis en exergue. Il s'emploie lui-même à la fabrication d'une contrebasse avec du bois de récupération dans une arrière-cour.
Alors que sa sortie est annoncée pour le 14 septembre, Kinshasa Symphony a déjà à son actif plusieurs participations à de nombreux festivals de par le monde. Loin d'être des passages fortuits, ces tournées ont souvent été couronnées de succès. Des sept récompenses glanées jusque là, on répertorie quatre « Prix du Meilleur documentaire » obtenus successivement au VIFF Vancouver 2010, au New-York cmj Music film Festival 2010, au Bolzano Cinema festival 2011 et au Salem Film Festival-USA. Les deux « Prix du public » dont il dispose lui ont été décernés au Mostra Sao Paulo germanfilms 2010 et au Pessac Les toiles filantes 2011. Tandis qu'au Rhode Island film festival 2010, il avait été gratifié de celui du « Prix du Meilleur film ».
Kinshasa Symphony a également été nominé plusieurs fois dans diverses prestigieuses rencontres cinématographiques du monde depuis l'an dernier. Il a par ailleurs fait l'ouverture des Visions du Réel de Nyon, l'année dernière, et des 27ès Vues d'Afrique de Montréal de cette année.
Nioni Masela Sources: 7sur7.cd.
vendredi 9 septembre 2011
Papa Wemba: Préféré(Trait d'union. LETIOK Prod. 2011)
mardi 6 septembre 2011
Manassé chante pour Nafissatou Diallo.
Congolaise ayant grandie en France, la chanteuse Manassé exprime son soutien à la guinéenne Nafissatou Diallo par cette chanson dont voici le clip.
Le clip de la chanson We stand by U
Le clip de la chanson We stand by U
dimanche 4 septembre 2011
Relance du tourisme en RDC: Kinshasa a abrité la 1ère édition du festival « Karibuni »
Le vendredi 26 août 2011, est une date historique pour l’ONT. Cet office a réussi à organiser, pour la première fois, un événement de grande envergure, le festival « Karibuni–RDC ». La manifestation a débuté par la visite de la DGA de l’ONT, Rosette Saiba, dans les différents stands installés dans la place du cinquantenaire.
Ces différents emplacements représentaient les richesses de la RDC où l’on a retrouvé des tableaux de peinture et d’autres œuvres d’art. la DGA n’a pas manqué de glisser quelques mots pour la circonstance : « 25 ans, c’est beaucoup mais c’est peu. Il faut marquer une pause pour examiner le chemin parcouru ensemble, mener une réflexion profonde pour un examen de conscience afin de relancer le tourisme en RDC ».
Pour Rosette Saiba, il y a nécessité d’impliquer le tourisme dans le secteur rivés car les défis sont normes et multiples. Il fat une volonté politique pour promouvoir le secteur du tourisme en RDC.
« Il faut alors se mettre ensemble pour bâtir un tourisme prospère, durable et profitable à tous » conclut Rosette Saiba.
Le représentant du ministre de l’environnement a pour sa part, déclaré que son ministère est déterminé à soutenir l’ONT, mais souhaite que cet office puisse déployer les différentes structures dans toutes les provinces. Il promet par ailleurs mains fortes à l’ONT pour accomplir sa mission.
Durant le festival, les Kinois ont écoté la musique traditionnelle du Bas-Congo, de la Province Orientale, du Bandundu, du Sud-Kivu, du Kasaï Occidental, du Nord-Kivu, de l’Equateur, du Kasaï Oriental, du Maniema, du Katanga et, de Kinshasa.
Outre ces spectacles, le groupe La Sanza a également presté pour le compte du festival. La boucle, c’était le concert de Zaïko Langa Langa de Nyoka Longo. Cet orchestre a bougé le public surtout avec sa nouvelle danse « Mokongo ya Koba ».
Dieumerci Mayambi
Kinshasa, 3/09/2011 (Forum des As, via mediacongo.net)
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