vendredi 29 janvier 2016
jeudi 28 janvier 2016
mardi 26 janvier 2016
lundi 25 janvier 2016
samedi 23 janvier 2016
vendredi 22 janvier 2016
jeudi 21 janvier 2016
mardi 19 janvier 2016
RDC : le film de Thierry Michel sur Denis Mukwege projeté aujourd’hui à Kinshasa.
Le réalisateur belge Thierry Michel a déclaré lundi être "soulagé" de pouvoir enfin projeter en République démocratique du Congo son film "L'Homme qui répare les femmes" consacré à l'oeuvre du chirurgien congolais Denis Mukwege.
« Je suis soulagé qu’après [la sortie du film] à travers le monde, on puisse le diffuser au Congo », a déclaré Thierry Michel à l’AFP à propos du film qu’il a coréalisé avec la journaliste belge Colette Braeckman, L’homme qui répare les femmes. La colère d’Hippocrate.
Sorti en Europe début 2014, ce documentaire devait être projeté en septembre à l’Institut français de Kinshasa (ville dépourvue de véritable salle de cinéma) avant que les autorités congolaises ne l’interdisent. La raison ? Une « volonté manifeste de nuire » à l’armée congolaise et de « salir » son image, selon Kinshasa. Le 17 octobre, le documentaire qui retrace la vie du gynécologue Denis Mukwege, avait fini par obtenir l’autorisation d’être diffusé à une heure tardive à la télévision nationale.
Lundi, le film a été montré à quelques dizaines de journalistes en présence de Thierry Michel, qui a finalement obtenu son visa pour se rendre au Congo, et de Colette Braeckman, à la veille de sa première projection publique au Congo, au Centre Wallonie-Bruxelles (centre culturel belge) de Kinshasa.
Après Kinshasa, le film doit être diffusé à Bukavu jeudi puis dimanche à Lubumbashi (sud-est), deuxième ville de RDC.
Les deux réalisateurs ont souvent répété qu’il était important de ne pas montrer que la face sombre de la nature humaine mais aussi de faire connaître au public des « héros » comme le Dr Mukwege.
Source: Jeune Afrique.
lundi 18 janvier 2016
vendredi 15 janvier 2016
mercredi 13 janvier 2016
dimanche 10 janvier 2016
RDC: l'opposant historique Etienne Tshisekedi apparaît fatigué dans une vidéo.
Le chef de l'opposition historique en République démocratique du Congo (RDC), Étienne Tshisekedi wa Mulumba, apparaît fatigué dans une vidéo mise en ligne samedi et dans laquelle il adresse difficilement depuis Bruxelles un message de voeux à ses compatriotes pour 2016, tout en annonçant son retour prochain à Kinshasa.
Figé et parlant d'une voix lente, le président de l'Union pour la Démocratie et le Progrès social (UDPS), âgé de 83 ans et en convalescence en Belgique depuis août 2014, bafouille ou s'arrête à plusieurs reprises dans cette vidéo de trois minutes faisant apparaître plusieurs coupes.
Une année électorale
"Je fais appel à tous ceux qui veulent le changement: qu'ils soient ensemble afin de trouver les solutions adéquates (aux) problèmes (du pays). Le reste du message vous sera transmis par la voie de la presse", déclare M. Tshisekedi, classiquement coiffé d'une casquette.
Dans la version écrite de ses voeux, le vieil opposant réclame que 2016 soit "une année électorale".
"Bientôt je serai parmi vous pour que nous puissions lier nos efforts pour gagner (les élections)", ajoute-t-il, lors que dans la version écrite il annonce "pour proche (son) retour au pays".
A propos du "dialogue national" préconisé par le président Joseph Kabila pour des élections "apaisées", M. Tshisekedi rappelle la position de son parti, en faveur d'un dialogue consensuel, seul moyen "de mettre fin à l'impasse politique en RDC Congo", mais sous certaines conditions. Pour le président de l'UDPS, le dialogue doit se faire à Kinshasa, sous l'égide de la communauté internationale. Il déplore toutefois que "les Nations unies, auxquelles nous nous sommes adressés à maintes reprises afin de nous accompagner dans cette démarche par la désignation d'un facilitateur demeurent à ce jour sans solution".
"Quelle que soit l'hostilité, on finit toujours par le dialogue, et c'est ainsi que je fais appel à tous ceux qui veulent le changement, qu'ils soient ensemble afin de trouver la solution adéquate à ces problèmes", ajoute cependant le "lider maximo" de l'UDPS. Selon un proche de la famille Tshisekedi, "le montage de la vidéo a été laborieux et a pris pratiquement quatre jours".
Dialogue national
La RDC traverse une crise politique depuis les élections de novembre 2011, entachées de fraudes massives et ayant reconduit au pouvoir pour cinq ans le président Kabila et sa majorité.
Aux termes de la Constitution congolaise, le second et dernier mandat possible de M. Kabila s'achève le 19 décembre. Mais la tenue d'une élection présidentielle crédible avant la fin de l'année apparaît chaque jour un peu plus incertaine en l'absence de calendrier électoral et de fichier électoral à jour.
Opposant sous la dictature de Mobutu Sese Seko (1965-1997), M. Tshisekedi était arrivé deuxième de la présidentielle de 2011, dont il avait rejeté les résultats, se proclamant vainqueur du scrutin.
Son parti, miné aujourd'hui par les divisions, est la seule des grandes composantes de l'opposition à s'être montrée disposée à dialoguer avec le pouvoir en vue de sortir de la crise.
Pour la quasi-totalité du reste de l'opposition, le "dialogue national" proposé en novembre par M. Kabila est un "piège" destiné à permettre au chef de l'État, au pouvoir depuis 2001, de se maintenir plus longtemps à la tête du pays.
Source: RTBF
samedi 9 janvier 2016
Crise politique en RDC : L’ultimatum de l’Opposition à J. Kabila. Dix février « ligne rouge » selon la Dynamique (Déclaration ci-dessous)
Loin de baisser, la tension politique en RDC ne fait que monter. Au point que le pire est redouté. La preuve nous est donnée par la Déclaration politique de la Dynamique de l’Opposition, musclée, lue par Eve Bazaiba, à la fois modératrice de cette plateforme et Secrétaire général du MLC, à Fatima le vendredi 8 janvier 2016. Dans celle-ci la Dynamique de l’Opposition, plateforme qui regroupe le MLC, Ecidé, CDR et l’UNC notamment, les opposants ont clairement haussé le ton face à ce qu’ils considèrent comme « velléité de conservation le pouvoir à tout prix » par le président Kabila, à savoir le Dialogue. La Dynamique vient de fixer « une ligne rouge » pour la mise à jour du fichier électoral. La date a été fixée au 10 février 2016. Bien avant, c’est-à-dire le 30 janvier 2016, l’Opposition exige l’élaboration d’un calendrier électoral consensuel. Dépassées ces dates, l’Opposition estime sans doute qu’il sera impossible d’organiser les élections dans les délais constitutionnels, sa principale revendication à l’heure actuelle. Pour faire davantage pression sur le pouvoir, l’Opposition prévoit une série des marches pacifiques dont une le 16 février. Les violons sont donc loin de s’accorder entre pouvoir et Opposition. Car à cette même date le Pouvoir compte organiser une contre manif avec les gros bras avec qui il s’affiche ces derniers temps. Mais avant ces dates, les deux camps s’épient, se jaugent, se tancent et se vilipendent par médias interposés.
C’est ainsi que Bazaïba a aussi dénoncé l’intox dans certains médias. Tous ceux qui s’opposent au « dialogue extraconstitutionnel » sont vilipendés dans les médias publics et privés proches du pouvoir déplore-t-elle. « Traitres à la nation», « parias », « comploteurs contre la République », « assoiffés de sang », « extrémistes », « réfractaires à la loi » et « subversifs » sont là les noms d’oiseaux dont sont affublés la Dynamique de l’Opposition et le G7 par le pouvoir. Selon la sénatrice Bazaiba, cela ne se limite pas là. Les opposants sont violentés, intimidés, arrêtés, et présentés comme instigateurs du chaos ou de la balkanisation. Pour accomplir cette basse besogne la porte-parole de la Dynamique déplore l’instrumentalisation de la jeunesse. L’ex bras droit d’Etienne Tshisekedi a dénoncé un « chantage éhonté ».
La Dynamique a aussi demandé à tous les citoyens d’adhérer au « Front Citoyen 2016 ». Le pouvoir appréciera car pour lui c’est une plateforme subversive. Autre divergence entre les deux camps, la Dynamique salue le travail de la Communauté internationale là où le Pouvoir ne voit que complot. Aussi Bazaiba a demandé à la Communauté internationale d’accompagner le peuple congolais dans sa quête de consolidation de la démocratie. Elle voit donc d’un bon œil la réorientation de la Monusco vers davantage des tâches de police et de protection des civils. Enfin la Dynamique encourage l’action des bons offices des Evêques catholiques. Qui doit s’inscrire selon elle dans un cadre constitutionnel « afin de lever les embuches inutilement dressées par le pouvoir » sur le chemin des élections transparentes.
Cette Déclaration on ne peut plus musclée de la Dynamique de l’Opposition illustre si besoin en est encore la crise dans laquelle la RDC s’enfonce chaque jour. Les opposants dans leur grande majorité ne veulent pas entendre parler du Dialogue considéré comme la panacée par le pouvoir. Le Pouvoir y voit de la surenchère. Mais de l’avis des analystes jamais Opposition ne fait autant désirer par le régime de Kinshasa. Il y a de fortes chances que le régime essuie un autre revers après l’échec des Concertations nationales auxquelles n’avaient pris part ni l’Udps ni l’UNC notamment. Résulat des courses : aucun problème n’a été réglé. Etaient notamment présents, Vital Kamerhe (UNC), Albert Moleka et Jean Lucien Busa. Ci-dessous ladite Déclaration.
Source: 7sur7.cd
vendredi 8 janvier 2016
Olusegun Obasanjo, l’ex-président du Nigéria devenu éleveur de poulets, gagne 250 000 dollars par mois
Olusegun Obasanjo, l’ex-président du Nigéria devenu éleveur de poulets, gagne 250 000 dollars par mois
On peut dire que c’est une reconversion gagnante et exemplaire que devraient suivre de nombreux autres anciens chefs d’Etat, et surtout ceux qui s’accrochent au pouvoir, et qui pensent que l’après présidence est une fin en soi. Avec cet ancien président Olusegun Obasanjo, il est claire que l’après présidence n’en est pas une. Il suffit d’avoir l’esprit d’entrepreneuriat pour une retraite heureuse.
Après avoir dirigé deux fois le Nigeria, l’ex-général Olusegun Obasanjo coule une retraite heureuse en élevant des poulets pour 250000 dollars par mois. Une reconversion possible pour Sassou, Bongo et Biya?
De Olusegun Obasanjo, 78 ans, les Nigérians retiennent qu’il a été le premier militaire de son pays à rendre en 1979 à un président civil démocratiquement élu le pouvoir qu’il a apris par la force trois années plus tôt à la tête d’une junte. Mais cet ex-général, issu de l’ethnie yoruba, au physique de catcheur, aura, sans doute, été le premier chef d’Etat africain à penser à l’après-pouvoir alors même qu’il est en exercice. Une semaine seulement après avoir quitté ses fonctions, Obasanjo a inauguré le 8 octobre 1979 Otta Farm, à 40 kilomètres au sud-est de Lagos, la capitale économique du Nigeria.
L’exploitation commence modestement : 2 écloseries, 5 poulaillers et deux meuneries. Mettant à profit son temps de retraité et son solide carnet d’adresse, Obasanjo, toujours à l’aise dans son boubou traditionnel agbada et son bonnet yoruba, a transformé progressivement cette ferme en une véritable unité industrielle qui emploie désormais pas moins de 7000 personnes. L’ancien chef de l’Etat nigérian y produit de la semoule du manioc et développe un élevage industriel de poulets à Otta et dans ses succursales dans les Etats de Ibadan et Oyo. Les activités de fermier rapportent chaque mois au général à la retraite près de 250.000 dollars (34 millions de naira), soit plus que le salaire annuel du président français François Hollande (179.000 euros), de son homologue russe Vladimir Poutine (128.000 euros) ou même du Premier ministre japonais (191.000 euros).
Source: Abidjan-immobilier
jeudi 7 janvier 2016
RDC : faut-il mettre la Monusco au régime ?
Faut-il réduire l’effectif de la mission de l’ONU en République démocratique du Congo ? Et de combien de Casques bleus ? Dans une période préélectorale tendue, le débat est ouvert, non sans arrière-pensées politiciennes…
C’est classique après les réveillons de fin d’année : l’obsession est au dégraissage. Cette année, la diète ne semble pas concerner la seule surcharge pondérale. Elle pourrait s’appliquer aux missions de maintien de la paix, comme la Monusco, la Mission de l’ONU pour la stabilisation en République démocratique du Congo. S’il y a débat entre New York et Kinshasa, ce n’est peut-être pas tant sur le principe de la réduction de l’effectif des Casques bleus que sur son ampleur. Faites vos jeux…
Mardi 5 janvier, le secrétaire général des Nations unies suggérait dans un rapport le départ de 1 700 hommes en mission pour la Monusco, après le retrait, en mars dernier, de 2 000 soldats onusiens. Évoquant, sur un ton pessimiste, l’augmentation du nombre d’incidents sécuritaires et des violations des droits de l’homme en RDC, Ban Ki-moon ne s’en dit pas moins convaincu qu’une Monusco dégraissée aura la capacité d’accomplir sa mission.
Dans cette perspective – laquelle sera discutée d’ici le renouvellement, en mars, du mandat de la mission –, les autorités congolaises se sentiraient-elles dépouillées, voire abandonnées ? Pas le moins du monde. C’est au contraire une diète plus radicale que demande Kinshasa, avec un retrait progressif de la force onusienne, en commençant par le départ d’un tiers des Casques bleus de son territoire, soit 6000 à 7000 hommes…
Le torchon brûle
C’est que le torchon brûle entre le gouvernement de la RDC et une bonne partie de la frange occidentale de la communauté internationale. La pomme de discorde ? Les conditions de l’organisation de la prochaine élection présidentielle, avec en toile de fond de la toile de fond, la candidature éventuelle du sortant. Or, Ban Ki-moon propose, à l’occasion de la réduction d’effectif, de réorienter la Monusco vers davantage de tâches de police dédiées à la tenue du scrutin. Joseph Kabilapréférerait-il laver le linge politique sale à l’abri des regards onusiens ? Comme pour faire diversion, les pourfendeurs de la mission de maintien de la paix ont beau jeu de dire qu’elle (la mission) ne la maintient guère (la paix)…
Mais qui peut dire si la situation n’aurait pas été plus tragique en l’absence de la Monusco, cette force arrivée en RDC il y a 15 ans sous le sigle de Monuc ?
Selon de mauvaises langues, donc, Ban Ki-moon aurait dû dire que la réduction des effectifs de la Monusco ne l’empêchera pas de… ne pas accomplir sa mission. Malgré le renforcement du mandat de la force de l’ONU, en 2013 – mandat devenu « offensif » –, celle-ci peine à empêcher les violences, notamment dans l’Est où continuent de sévir certains groupes armés comme les rebelles ougandais de l’ADF.
Mais en réalité qui peut dire si la situation n’aurait pas été plus tragique en l’absence de la Monusco, cette force arrivée en RDC il y a 15 ans sous le sigle de Monuc ? Ban Ki-moon doit composer avec des impératifs budgétaires, des humeurs politiciennes et des incompréhensions populaires, quand surgissent des accusations d’abus sexuels perpétrés par des « soldats de la paix », comme en République centrafricaine…
Pour l’heure, et peut-être pour rassurer ces opinions qui s’entendent dire que les forces internationales sont trop intrusives, l’heure est à l’africanisation de la Monusco. C’est le général sud-africain Derrick Mbuyiselo Mgwebi qui va reprendre le commandement des troupes de l’ONU en République démocratique du Congo, en remplacement du Brésilien Carlos Alberto dos Santos Cruz. Mais Joseph Kabila ne préférerait-il pas, sans doute, qu’il soit congolais ?…
Damien Glez
Source: Jeune Afrique
RDC : 7 000 réfugiés sud-soudanais enregistrés à Dungu en moins d’un mois.
La ville de Dungu, située dans le nord-est de la RDC, a enregistré mardi, en moins d'un mois, 7 000 réfugiés en provenance du Soudan du Sud, selon une source locale.
« À Dungu, 7 000 personnes [ayant] traversé la frontière du Soudan du Sud vers la RDC » en moins d’un mois ont été « enregistrées », le 5 janvier, selon les statistiques officielles, a déclaré Ismaël Arama Ziama, commissaire spécial adjoint de la nouvelle province congolaise du Haut-Uélé, dans le nord-est du pays.
« Ces personnes fuient le climat d’insécurité qui règne dans les provinces [sud-soudanaises] frontalières avec la RDC », a-t-il ajouté, joint au téléphone à Isiro, capitale du Haut-Uélé où se trouve le ville de Dungu, à environ 80 km de la frontière avec le Soudan du Sud.
Selon Ismaël Arama Ziama, les réfugiés sont « majoritairement des Sud-Soudanais » en plus de quelques Congolais et autres ressortissants étrangers.
Bientôt un plan d’action des Nations unies ?
Pour tenter de ramener la paix au Soudan du Sud, déchiré depuis deux ans parune guerre dans laquelle s’affrontent les forces gouvernementales du président Salva Kiir et les rebelles conduits par l’ancien vice-président Riek Machar, le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon devra présenter un plan d’action au Conseil de sécurité d’ici le 15 janvier.
À la mi-décembre, l’ONU avait déjà renouvelé le mandat de sa mission dans le pays (Minuss), le prolongeant jusqu’au 31 juillet 2016, en renforçant quelque peu ses effectifs et ses moyens d’action afin de protéger les civils.
Source: Jeune Afrique
mercredi 6 janvier 2016
lundi 4 janvier 2016
RDC: les Kinois réagissent à la présence de caméras de surveillance.
Les caméras de surveillance ont fait leur apparition dans la ville de Kinshasa. Surpris par cette présence, les Kinois se sont mis à spéculer dans tous les sens. Les autorités de la police nationale rassurent, mais la suspicion demeure et se fait de plus en plus grande.
Célestin Kanyama, commissaire provincial de la capitale, parle du renforcement de la sécurité. Ce général de la Police nationale évoque les contraventions routières et le comportement incivique de certains habitants. Selon lui, cette vidéosurveillance est une très bonne chose et certains Kinois sont d’accord avec lui. « Moi, je trouve que c’est bon, nous devons nous adapter aux systèmes de sécurité d’ailleurs… » témoigne cet homme.
Mais ensuite se posent des problèmes pratiques somme la maintenance du réseau. «C’est ça le plus difficile. Acheter des caméras… mais la maintenance ?» s‘interroge cet autre Kinois selon lequel pour que la vidéosurveillance ait un bon résultat ilfaut prévoir un suivi.
Pourquoi poser des caméras de surveillance seulement maintenant ?
« C’est vraiment pour des raisons sécuritaires ou c’est pour cibler les lieux connus traditionnellement dans cette ville, comme des lieux de rassemblement de certaines personnes qui ne sont pas d’accord avec certaines choses, certaines pratiques que l’on dénonce jour et nuit dans ce pays » doute cet autre habitant de la capitale.
« C’est vraiment pour des raisons sécuritaires ou c’est pour cibler les lieux connus traditionnellement dans cette ville, comme des lieux de rassemblement de certaines personnes qui ne sont pas d’accord avec certaines choses, certaines pratiques que l’on dénonce jour et nuit dans ce pays » doute cet autre habitant de la capitale.
Autre question enfin : ce projet a-t-il été budgétisé ? « Si on regarde le budget de l’Etat on ne voit pas où cet élément figure. Et pourquoi ça ne vient que vers la fin de l’année 2015 et le début de l’année 2016 ? » interroge un autre Kinois.
Des sources généralement bien renseignées indiquent qu’il s’agit d’un réseau de surveillance confié à la Police nationale congolaise.
Source: RFI
dimanche 3 janvier 2016
vendredi 1 janvier 2016
Inscription à :
Articles (Atom)