jeudi 29 mars 2018
mercredi 28 mars 2018
dimanche 25 mars 2018
jeudi 8 mars 2018
mardi 6 mars 2018
lundi 5 mars 2018
Clémentine Madiya Faïk-Nzuji
Née à Tshofa (R. D. Congo) en 1944, Clémentine Madiya Faïk-Nzuji est docteur d’État ès Lettres et Sciences humaines (Études africaines) de l’Université de Paris III, Sorbonne nouvelle, elle a enseigné les littératures orales et la stylistique africaines d’abord à l’Université nationale du Zaïre de 1972 à 1978, ensuite à l’Université de Niamey (Niger) de 1978 à 1980.
Depuis 1981, C. M. Faïk-Nzuji enseigne la linguistique, les littératures orales et les cultures africaines à l’Université catholique de Louvain. Au sein du Centre international des langues, littératures et traditions d’Afrique au service du développement (Ciltade) qu’elle a fondé en 1986, elle poursuit ses recherches dans les domaines de la linguistique bantoue y compris l’anthroponymie et la sémantique, des littératures orales, de la symbologie, des tatouages et scarifications, qui font l’objet de nombreuses publications scientifiques, de rencontres, de conférences et de sessions de formation en Europe et en Afrique.
Son œuvre d’écrivain lui a valu le premier prix de poésie au Concours littéraire Président L. S. Senghor (Zaïre, 1969). Elle a aussi été lauréate au Concours de nouvelles en langues africaines de l’Afrique centrale organisé par l’Académie royale des Sciences d’Outre-Mer (Bruxelles, 1987) et au concours de la meilleure nouvelle de langue française organisé par Radio France Internationale (Paris, 1990). Clémentine Madiya Faïk-Nzuji est mariée et mère de cinq enfants.
Source: bibliomonde.com
Depuis 1981, C. M. Faïk-Nzuji enseigne la linguistique, les littératures orales et les cultures africaines à l’Université catholique de Louvain. Au sein du Centre international des langues, littératures et traditions d’Afrique au service du développement (Ciltade) qu’elle a fondé en 1986, elle poursuit ses recherches dans les domaines de la linguistique bantoue y compris l’anthroponymie et la sémantique, des littératures orales, de la symbologie, des tatouages et scarifications, qui font l’objet de nombreuses publications scientifiques, de rencontres, de conférences et de sessions de formation en Europe et en Afrique.
Son œuvre d’écrivain lui a valu le premier prix de poésie au Concours littéraire Président L. S. Senghor (Zaïre, 1969). Elle a aussi été lauréate au Concours de nouvelles en langues africaines de l’Afrique centrale organisé par l’Académie royale des Sciences d’Outre-Mer (Bruxelles, 1987) et au concours de la meilleure nouvelle de langue française organisé par Radio France Internationale (Paris, 1990). Clémentine Madiya Faïk-Nzuji est mariée et mère de cinq enfants.
Source: bibliomonde.com
Hommages à Tony Dee Bokito et à ses congénères.
Après avoir appris le décès du vieux Tony Dee Bokito, je suis allé faire une recherche sur google dans le but de trouver une de ses photos et la poster sur mon journal en guise d'hommage au chanteur et auteur-compositeur qu'il a été durant tout le long de son pèlerinage terrestre, je suis tombé sur sa biographie publiée sur un site congolais.
Mis à part tout ce que je savais des anciens du groupe musical Los Nickelos, notamment qu'ils ont été étudiants en Belgique et qu'ils ont par la suite travaillé au pays, j'ai appris en lisant cette bio qu'il a travaillé pour la Gécamines jusqu'à l'âge de la retraite.
J'ai aussi relevé qu'il a été relégué dans sa province d'origine parce qu'il a refusé de se conformer à l'ordre qui lui a été donné de ne plus faire de la musique.
Je ne ferai pas de commentaire sur cette décision qui traduit la pensée ancrée dans nos sociétés africaines sur la musique et le musicien.
Je me contenterai de rendre un vibrant hommage à tous ces artistes musiciens "intellectuels" qui ont su allier études,carrières en rapport avec leurs études et carrière musicale. Les Zizi Nzanga, Max Mongali,Tony Dee Bokito pour ne citer que ceux-là ont servi la nation congolaise doublement et avec brio.
Ils resteront une référence pour beaucoup d'entre nous.
Mis à part tout ce que je savais des anciens du groupe musical Los Nickelos, notamment qu'ils ont été étudiants en Belgique et qu'ils ont par la suite travaillé au pays, j'ai appris en lisant cette bio qu'il a travaillé pour la Gécamines jusqu'à l'âge de la retraite.
J'ai aussi relevé qu'il a été relégué dans sa province d'origine parce qu'il a refusé de se conformer à l'ordre qui lui a été donné de ne plus faire de la musique.
Je ne ferai pas de commentaire sur cette décision qui traduit la pensée ancrée dans nos sociétés africaines sur la musique et le musicien.
Je me contenterai de rendre un vibrant hommage à tous ces artistes musiciens "intellectuels" qui ont su allier études,carrières en rapport avec leurs études et carrière musicale. Les Zizi Nzanga, Max Mongali,Tony Dee Bokito pour ne citer que ceux-là ont servi la nation congolaise doublement et avec brio.
Ils resteront une référence pour beaucoup d'entre nous.
jeudi 1 mars 2018
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